Dons d’organes : des vies sauvées

Faire don de ses organes peut sauver des vies. La loi de bioéthique a érigé le principe de “consentement présumé” : après sa mort, toute personne est considérée consentante au don d’éléments de son corps en vue de greffe, si elle n’a pas manifesté son opposition de son vivant. Mais en cas de décès, le médecin demandera aux proches si le défunt était opposé au don d’organes. La loi nous donne donc la liberté de décider personnellement :

  • si vous êtes pour, dites-le à vos proches pour qu’ils puissent en témoigner, portez sur vous une carte de donneur
  • si vous êtes contre, dites-le à vos proches pour qu’ils puissent en témoigner, inscrivez-vous au registre national des refus.
     

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